Piratée (Hacked in French)

dernier post
prochain post

PREMIER UN EXPLICATION EN ENGLAIS: (First an explanation in English. This in my next column for the Duluth Reader. I am posting it French because it will take more effort to translate in into English than my readers are likely to feel up to. They needn’t worry too much. It will appear in the next issue of the Reader in six days or so. This is part of an ongoing attempt on my part to tempt French readers to look at one American eccentric’s take on his nation in the era of Donald Trump. The next couple posts will also make that clear. I’m on a four year steam roll against the whole enchilada and if I describe Republican congressmen lining up to give our president blow jobs its just a fraction of the rage in my heart. I also say that at least they spit when the leave his majesty’s presence and check that no one is looking. As for the Veep Vance. Hell, he gargles with the stuff in public. )

https://www.flickr.com/photos/30095042@N00/54341621211/sizes/w/
Claudia Welty met en garde les personnes qui consultent la page Facebook de Harry.

Tout a commencé par un simple message texte d’un ami Facebook peu fréquentable que j’avais accumulé depuis que j’avais rejoint Facebook. C’est peut-être le film Social Network de 2010 que j’ai regardé lors de notre vol de retour d’Australie en 2012 qui a éveillé mon intérêt. Je me suis inscrite, mais en 2015, j’ai été conquise lorsque ma fille a commencé à publier des photos de nos petits-fils. J’étais réticente à l’idée d’ajouter de nombreux amis, mais je me suis assouplie.
« Peonie » (ce n’est pas son nom) m’a envoyé un SMS pour me dire qu’elle avait été piratée après que son Facebook ait été infecté par le mien. J’étais horrifié à l’idée d’avoir infecté quelqu’un par le biais de Facebook. Peonie m’a dit que Facebook/META l’avait beaucoup aidée à se débarrasser de ses pirates. Elle m’a proposé de me donner la ligne d’assistance Meta pour m’aider à débarrasser mon compte des pirates. Le lendemain, je lui ai envoyé un message pour lui dire que j’aimerais les contacter. Si vous avez déjà la chair de poule et que vous avez envie de crier « Ne fais pas ça Harry ! », il est trop tard. J’ai un écran de messagerie grisé pour le prouver. Je ne peux même pas regarder la page Facebook de quelqu’un d’autre à partir de mon téléphone ou de mon ordinateur. Tout ira bien. Ma moitié, plus technicienne, a contacté Equifax, Experian et TransUnion pour s’assurer que nos comptes de crédit et nos comptes financiers n’étaient pas compromis. Elle a ensuite envoyé l’avertissement à tous mes visiteurs, visible actuellement si vous visitez ma page.
Pour votre information, voici ce que vous ne devez pas faire si « META » veut vous débarrasser des pirates informatiques. N’utilisez pas messenger. C’est là qu’on m’a envoyé la photo d’identité d’une femme blonde avec un badge Meta. Bien sûr, il s’agissait d’un texto, car son accent indien l’aurait trahie, mais j’aurais dû prêter plus d’attention aux fautes de frappe qui suggéraient que son anglais était aussi peu soigné que mon français. Elle avait besoin d’une confirmation de mon identité – j’ai envie de me mordre les doigts en écrivant cela – et je lui ai envoyé des photos des deux côtés de mon permis de conduire. Le lendemain, sur Reddit, nous avons lu que d’autres personnes s’étaient vu refuser l’accès à leur compte Facebook. Il n’y avait rien à faire. La seule bonne nouvelle, c’est que mon permis ne comportait pas mon numéro de sécurité sociale. Je suis sûr que la DOGE du président Musk s’occupera de ce détail.
Après avoir réalisé l’abîme dans lequel j’étais tombé, j’ai gardé le contact avec les hameçonneurs pour le soulagement comique. J’ai dit à META que je devais aller à la chorale, ce qui était vrai. J’ai demandé si nous pouvions continuer le lendemain. Parce qu’il y avait encore des dégâts à faire, l’escroc m’a dit de lui envoyer un message à 8h30 le lendemain. Le lendemain, elle, il, elle, m’a demandé comment se passait la chorale. Je leur ai dit que cela avait été une épreuve parce que ma voiture avait glissé dans un banc de neige et que j’avais dû attendre des heures dans la tempête pendant que les dépanneuses sortaient les gens de la neige. Bangalore, en Inde, n’a pas beaucoup d’occasions de ce genre. J’ai également expliqué que j’étais en train de peindre mon bureau à domicile et que je n’étais pas d’humeur à la laisser me mettre en contact avec la Central Intelligence Agency. Oui, la CIA ! Je lui ai dit qu’elle m’avait déjà assuré que je n’irais pas en prison, bien qu’elle ait soudain laissé entendre que la prison pourrait être une option. Ils ont continué à m’envoyer des messages toutes les deux heures et j’ai continué à les repousser. Tout ce qu’ils voulaient, ils ne l’ont pas eu. Je l’espère !
Ah les téléphones portables. Je me suis laissé aller à ce que j’appelle l’algorithme du dragon de Komodo. J’ai vu ces reptiles de douze pieds avaler toutes sortes de proies sur « Reels », l’équivalent de TikTok sur Facebook.Les algorithmes ont déduit ce que je vais regarder.Ils ont aussi compris ce qui va faire réagir les personnes qui votent rarement.La plupart du temps, ils se basent sur un biais de confirmation. Ils leur disent ce qu’ils ont peur d’entendre ou ce qu’ils veulent entendre pour les inciter à se lever du canapé et à voter en connaissance de cause.C’est un moyen efficace de mentir.Le nouveau propriétaire de Trump, Elon Musk, immigrant illégal et multimilliardaire, a inondé Internet de désinformation à l’intention des électeurs peu assidus des sept États clés.Il a dépensé un quart de milliard de dollars pour cela.
Son succès a incité tous les autres milliardaires à faire la queue pour remplir les poches sans fond de Trump.Zuckerberg, de META, a donné un maigre million de dollars pour le fonds d’inauguration de Trump.Jeff Bezos, d’Amazon, a fait un chèque de 40 millions de dollars à Melania pour le tournage d’un biopic sur elle.Musk a déjà collecté des fonds pour acheter le bureau ovale de Trump.Il est chargé de démanteler l’Amérique.
Je n’ai aucune idée de la façon dont l’Amérique se remettra.Elle a ensuite envoyé l’avertissement à tous mes visiteurs, visible actuellement si vous visitez ma page. Pour votre information, voici ce que vous ne devez pas faire si « META » veut vous débarrasser des pirates informatiques.N’utilisez pas messenger.C’est là qu’on m’a envoyé la photo d’identité d’une femme blonde avec un badge Meta.Bien sûr, il s’agissait d’un texto, car son accent indien l’aurait trahie, mais j’aurais dû prêter plus d’attention aux fautes de frappe qui suggéraient que son anglais était aussi peu soigné que mon français.Elle avait besoin d’une confirmation de mon identité – j’ai envie de me mordre les doigts en écrivant cela – et je lui ai envoyé des photos des deux côtés de mon permis de conduire.Le lendemain, sur Reddit, nous avons lu que d’autres personnes s’étaient vu refuser l’accès à leur compte Facebook.
Il n’y avait rien à faire.La seule bonne nouvelle, c’est que mon permis ne comportait pas mon numéro de sécurité sociale.Je suis sûr que la DOGE du président Musk s’occupera de ce détail. Après avoir réalisé l’abîme dans lequel j’étais tombé, j’ai gardé le contact avec les hameçonneurs pour le soulagement comique.J’ai dit à META que je devais aller à la chorale, ce qui était vrai.
J’ai demandé si nous pouvions continuer le lendemain.Parce qu’il y avait encore des dégâts à faire, l’escroc m’a dit de lui envoyer un message à 8h30 le lendemain.Le lendemain, elle, il, elle, m’a demandé comment se passait la chorale.
Harry Welty tente de rester calme alors que le monde brûle autour de lui à l’adresse suivante : lincolndemocrat.com

Traduit avec DeepL.com (version gratuite)

About the author

Harry is a ferociously good natured eccentric in Duluth Minnesota who detests traitors dressed up as Uncle Sam. You can find somewhat better edited writings of his at the Duluth Reader "contributors." page. The URL is:
https://duluthreader.com/contributors/h/84/284-harry-welty